« Le faiseur de mort » et les Auteurs LiLys au Salon du Livre de Wallonie

Le 8 octobre marquera deux évènements importants :

Le premier, la sortie du deuxième roman d’Olivier Henskens, « Le faiseur de mort », qui cette fois quitte le monde du thriller pour traiter d’un sujet d’actualité : l’euthanasie.

En effet, en cette année 2022, nous célébrons en Belgique le vingtième anniversaire de la loi qui réglemente cette pratique faite pour aider les personnes à partir dignement.

L’accélération de la fin de vie peut englober des formes très différentes, de l’interruption du traitement médical à l’injection de produits létaux, en passant par l’arrêt de la nutrition et de l’hydratation ou l’administration de sédatifs en dose importante. On estime ainsi que, en Europe, la part de la décision médicale dans les décès concerne 40 à 50 % des décès. Mais ces pratiques ne sauraient toutes être regroupées sous le terme « euthanasie », dans la mesure où le but visé n’est pas la fin de vie elle-même. Par ailleurs, certaines pratiques sont acceptées par la législation, d’autres non.

Mais de quoi parle « Le faiseur de mort » ?

C’est avant tout une déclaration d’amour d’un homme pour sa femme mourante.

Une histoire de décision, de choix dans ce que l’amour a de plus ultime : la mort.

Mais laissons l’auteur en parler lui-même :

Synopsis : « Un juge parisien perd pied face à la lente agonie de son grand amour. Déchiré entre la loi qu’il a servie toute sa vie et les demandes de sa femme, qui ne peut plus souffrir, son existence se noie, entre remords et douleur. Jusqu’à ce qu’il pense trouver son salut.

L’euthanasie est au cœur de ce second roman. Mais Le Faiseur de mort, c’est aussi l’histoire d’un amour inconditionnel et de sa perte, l’histoire d’un homme qui affronte seul le crépuscule de sa vie dans une société où il ne fait pas bon vieillir. »

Le Deuxième, sera la présence des auteurs LiLys au Salon du Livre de Wallonie regroupant un panel des nouvelles sorties :

Serons donc présent ce week-end :

Olivier Henskens, les samedi 8 (de 10 à 14 heures) et dimanche 9 octobre (de 10 à 18 heures) avec « Le roi mort » et « Le faiseur de mort »

Jean Jossart, le samedi 8 octobre (de 10 à 14 heures) avec son dernier roman « L’étrangère du Verseau »

Pierre-Marie Dumont-Saint Martin, le samedi 8 octobre de 14 à 18 heures avec son diptyque historique : « Le temps des coquelicots » et « Le temps du muguet »

Brigitte Guilbau, les samedi 8 (de 14 à 18 heures) et dimanche 9 (de 10 à 14 heures) avec son petit dernier « Le Prématuré » et « Un Papillon sur la banquise »

Geoffroy Klompkes, le dimanche 9 de 10 à 18 heures avec « Limite Petit Bain », son premier roman 

Et Éric Duchêne, le dimanche 9 de 14 à 18 heures avec son diptyque rappelant George Orwell : « Foi d’animal – Sous le signe du Lion L’envol de l’aigle »

Notre stand se trouvera (voir le plan ci-dessous) au numéro 23, pas très loin de l’entrée au rez-de-chaussée où vous pourrez discuter avec nos auteurs et autrice et découvrir notre catalogue complet tel que « Seule ma mère comprenait » de Dominique Delescaille, les « Electropismes » et « Mille neuf cent soixante-quatre et demi » de Samuel Bury, « L’Affaire Boris » et « Isobel_2172 » de Frédéric Beth et l’incontournable « Viande » de Noëlle Michel.

Adresse: WCCM – Salon du livre de Wallonie – avenue Mélina Mercuri, 9, 7000 Mons ( à côté du Van Der Valk). Ouverture du salon les 8 et 9 octobre de 10 à 18 heures

Au Plaisir de vous rencontrer, cette année, non masqués !

L’équipe de LiLys

Du Muguet, une constellation et une boutique en ligne

Trois ans après la sortie du roman « Le temps des coquelicots », Pierre-Marie Dumont-Saint Martin nous conte dans « Le temps du Muguet », l’aventure de son héros, Gérard Vandervelde lors de la Seconde Guerre mondiale.

Un roman historique précis et une écriture toujours poétique ponctuée de musique classique.

Conception: Astrid Matecki

Synopsis : Gérard Vandervelde, flûtiste de renommée internationale, est un vétéran de la Grande Guerre. Officier de réserve dans l’aviation belge, il est rappelé sous les armes dès l’invasion allemande de la Pologne en 1939. Non seulement la guerre va se porter sur l’ouest de l’Europe avec l’assaut de la Belgique le 10 mai 1940, mais une autre menace se dessine dans l’ombre.

Dans l’Allemagne nazie, Otto Hahn est arrivé à réaliser la fission nucléaire. Ses confrères savants sont d’emblée arrivés à la conclusion que cette réaction en chaîne peut produire une explosion d’une force inconnue. Les milliers de morts de la guerre qui vient de commencer pourraient n’être qu’un prélude dantesque aux aspirations d’une dictature qui procède à l’élimination de populations entières au nom de prétendues théories raciales.

Mais ce n’est pas tout !

Notre Doyen, Jean Jossart nous revient également avec une nouvelle romance, mais cette fois, constellée de science-fiction.

Si vous avez aimé « Un monde d’éternité » et « Insaisissable Francisca », vous tomberez sous le charme de

« L’Étrangère du Verseau ».

Conception: Laurie Pouilleau

Synopsis : Romancier-amateur, complémentairement à ses activités professionnelles et rigoureuses d’astrophysicien, Stephen, la quarantaine naissante, s’était découvert une passion pour l’écriture et profitait à présent de la fin des vacances pour se lancer dans la rédaction d’une nouvelle histoire. 

C’était la mi-mars. Le ciel était extraordinairement lumineux en ce début d’après-midi.

Regardant par la fenêtre, Stephen eut l’attention attirée par l’éclat d’un objet brillant qu’une pie tenait dans son bec. Curieux, il suivit la piste de l’oiseau voleur et découvrit sur un talus de détritus abandonnés, une boîte contenant quelques bijoux et des tablettes d’argile couvertes de caractères ressemblant étrangement à de l’écriture cunéiforme.

Quelle était la nature de ces objets ? Étaient-ils authentiques ? 

Tout ceci avant de vous annoncer très bientôt les sorties du printemps.

Mais nous n’en dirons pas plus pour le moment.Rendez-vous donc sur notre boutique en ligne ou chez votre libraire pour y retrouver nos deux nouveautés !

Réouverture de la boutique en ligne pour l’Europe !

Après presque trois mois à nous concentrer sur nos lecteurs belges pour les raisons que l’on connaît : nous revoici à l’international !

Nous vous avons donc préparé deux préventes des sorties libraires de septembre et une petite surprise en fin d’annonce.Première des deux exclusivités ? Le deuxième tome de la série « Foi d’animal » et nous espérons sincèrement que « L’envol de l’aigle » vous plaira autant que le tome 1: «Sous le signe du Lion ».

« Constantin Gonfalon avait l’intime conviction de les avoir bel et bien semés. Cela lui procurait une sensation de supériorité. 

Les autoroutes et leurs péages truffés de caméras étant des nasses dans lesquelles le gros poisson qu’il était risquait de se faire prendre, il avait fait le choix du réseau secondaire. 

Gonfalon vivait cette fuite comme un thriller dont il aurait été l’invincible héros. Chaque fois qu’il mettait une ville derrière lui, il se voyait dans la peau de Cary Grant esquivant les dangers que ses poursuivants avaient placés sur son chemin dans « La mort aux trousses ». Après un premier tome intense, mêlant La Fontaine et Orwell, « L’envol de l’aigle », tome 2 de la saga « Foi d’animal » vous emmènera au cœur d’une nouvelle épopée palpitante.

Deuxième exclusivité : le tout nouveau roman de Brigitte Guilbau « Un papillon sur la banquise » qui cette fois, traitera du harcèlement scolaire et de ses dérives.

« Frédérique part pour l’Afrique avec la dernière lettre de son fils Manuel. 

Pourquoi s’envole-t-elle au pays des maisons sans adresse ?

Pour que les mots du mal qui la ronge sortent enfin.Elle a appris trop tard le harcèlement qu’il vivait dans son établissement scolaire. Elle ignorait que le cauchemar commençait pour lui dès le réveil et que l’horreur prenait l’apparence de ses copains de classe. Que faire lorsque ces lieux de savoir et de vivre ensemble que sont les écoles deviennent ceux qui nous tuent ? »

Vidéo de présentation:

Pour vous remercier de votre soutien, pour vous dire que nous pensons aussi à vous dans la mesure de nos possibilités, nous vous proposons une réduction sur vos frais de port, et ce, sur tout le catalogue, avec le code :

Nous espérons vous retrouver tous très bientôt !

L’équipe de LiLys !

Invasion de coquelicots ! Nouvelle recrue !

Il y a cent ans, se terminait celle que l’on nommera la Grande Guerre. Celle où des millions d’hommes et de femmes ont perdu la vie. La Première Guerre qui restera marquée dans les livres d’Histoire comme un des événements marquants du xxe siècle, cette guerre parfois qualifiée de totale a atteint une échelle et une intensité inconnues jusqu’alors. Elle a impliqué plus de soldats, provoqué plus de morts et causé plus de destructions que toute autre guerre antérieure. Plus de soixante millions de soldats y ont pris part.

Avec « Le temps des coquelicots, un musicien dans la Grande Guerre », Pierre-Marie Dumont Saint Martin, nous raconte l’histoire de Gérard, jeune flûtiste qui se retrouvera enrôlé dans ce qui deviendra l’évènement marquant de sa vie.

Tout au long de ce récit, il va nous guider de France, en Allemagne, en passant par Liège et ses bords de Meuse. Avec Donner, il nouera une complicité inattendue. Avec Hélène, il oubliera un bref instant Lily qui jusque-là avait absorbé toutes ses pensées.

 

Adeptes de musique, d’aviation, d’équidés et d’Histoire avec un grand H, nous ne pouvons que vous conseiller ce premier roman.

 

Résumé :

 

Âgé de dix-sept ans, Gérard Vandervelde achève son parcours d’étudiant au Conservatoire de Liège au moment où l’Europe sombre dans la guerre. Confronté dès les premiers jours du conflit aux atrocités commises par les troupes allemandes qui envahissent la Belgique, il va être emporté dans la tourmente des combats et sur les chemins de l’exil tout en essayant désespérément de sauver ceux qu’il aime. Mais cette guerre est un raz-de-marée où la survie relève du miracle.

Tout semble perdu dans l’abîme de souffrance où l’humanité est précipitée par la décision d’une poignée de criminels agissant dans l’ombre des chancelleries. Comme des millions de jeunes gens, il vit la souffrance des combats, déchiré entre sa conscience et un terrible désir de venger les massacres perpétrés sous ses yeux.

L’amour, l’amitié et la musique sont les seules étoiles qui continuent à luire dans un ciel de tempête traversé d’éclairs. Un roman qui ne manquera pas de séduire les passionnés de musique, d’aviation et d’Histoire, ainsi que les amoureux du monde équestre.

 

Mais qui est donc Pierre-Marie ?

Laissons-lui le soin de se présenter :

 

Pierre-Marie Dumont Saint-Martin est le nom de plume que s’est choisi un écrivain dont les publications antérieures appartiennent au domaine de la musique.

Issu d’un milieu multiculturel, cet artiste atypique a entamé sa carrière professionnelle sur la base de compétences et connaissances éclectiques acquises en autodidacte, ce qui ne l’a pas empêché d’être invité à se produire avec des ensembles renommés dans les lieux les plus prestigieux de la scène internationale. Ses compétences et les fruits de ses recherches ont été reconnus par l’obtention de titres académiques en France et en Belgique, dont celui de Doctor of Fine Arts décerné par l’université flamande de Louvain.

Nouvelles sorties d’octobre!

Young Adult et Inclassables verront arriver chacun à leur tour une nouveauté!

 

Tout d’abord, « Jörg Oeuil, l’ange qui n’avait pas le permis » de Brigitte Guilbau fera sa sortie officielle ce samedi 27 octobre à partir de 14 heures à L’Empreinte Belge ( rue Godefroid à Namur)

Avec ce Dixième roman, notre agitatrice de neurones préférée, nous apprendra que les valises familiales et les héritages inconscients , définissent nos actes présent. Apprendre à dire « non » pour nous construire, apprendre à dire « non » pour avancer.

Serait-ce une coïncidence si l’un des premiers mots répétés par nos enfants, et ce, avec parfois joie est ce simple mot de revendication ?

Jörg Oeuil est né il y a longtemps. Tellement longtemps qu’il ne se souvient plus. Il ne se souvient pas de son trépas.
Jörg Oeuil fait partie de ces satisfaits qui envisagent l’essentiel comme secondaire. Il n’est pas du genre à se poser des questions.
Et pour quoi s’en poserait-il ?
Il ne savait plus qu’une chose : il s’était éveillé avec un lever de soleil, courbaturé et chancelant, migraineux et de mauvaise humeur, flanqué d’ailes plus encombrantes l’une que l’autre, impossible à manœuvrer. Trop grandes pour son corps élancé. Empoté par cet attribut qu’il n’avait pas demandé, Jörg Oeuil se sentait ridicule.

Avez-vous deviné ? Êtes-vous prêt à vous confronter à votre capacité à prononcer ce simple mot qu’est le « non » ?

Ensuite, Christophe Renault, nous revient avec un tout nouveau bébé « Nom de code : Albane »

Il n’y a pas de hasard quand les deux sorties d’octobre nous parlent d’ange. Dans ce deuxième roman, les anges sont un peu spéciaux. Ils s’occupent des humains devant être reprogrammés ou gagnent des points d’expérience lorsqu’ils doivent intervenir pour « sauver » leur « protégé.

 

Un Young Adult qui ouvre les yeux sur une société malade.

Elle s’appelle LUI-P3-6-99 – dite Albane pour les intimes. Parmi ceux-ci, il y a son Pierre, le plus intime de tous puisqu’il est précisément son protégé. Seulement, voilà ! Le métier d’ange gardien est en pleine restructuration. Les caisses de magie sont vides. On rogne sur tous les sortilèges. Avec tous ces fous de Dieu qui s’engagent les uns après les autres, toutes les équipes sont sur les dents ! Du coup, on liquide. On fait la traque aux inutiles. La Grande Direction s’est réunie : on va éliminer les vivants qui ne vivent pas. À quoi bon leur dispenser de l’énergie ? C’est féerie perdue !

Pierre est de ceux-là. Il est donc voué à disparaître. Précisément, il va être envoyé en camp de rééducation. Un professeur l’y attend. Un prof d’un nouveau genre, capable de lui apprendre le goût de s’engager. D’exister. Sa méthode ? Citer du Walt Disney.

Pendant ce temps-là, Albane, elle, va devoir s’occuper d’un nouveau cas, un terroriste prêt à tout pour mettre le pays en sang.