Après presque trois mois à nous concentrer sur nos lecteurs belges pour les raisons que l’on connaît : nous revoici à l’international !
Nous vous avons donc préparé deux préventes des sorties libraires de septembre et une petite surprise en fin d’annonce.Première des deux exclusivités ? Le deuxième tome de la série « Foi d’animal » et nous espérons sincèrement que « L’envol de l’aigle » vous plaira autant que le tome 1: «Sous le signe du Lion ».
Couverture: Astrid Matecki
« Constantin Gonfalon avait l’intime conviction de les avoir bel et bien semés. Cela lui procurait une sensation de supériorité.
Les autoroutes et leurs péages truffés de caméras étant des nasses dans lesquelles le gros poisson qu’il était risquait de se faire prendre, il avait fait le choix du réseau secondaire.
Gonfalon vivait cette fuite comme un thriller dont il aurait été l’invincible héros. Chaque fois qu’il mettait une ville derrière lui, il se voyait dans la peau de Cary Grant esquivant les dangers que ses poursuivants avaient placés sur son chemin dans « La mort aux trousses ». Après un premier tome intense, mêlant La Fontaine et Orwell, « L’envol de l’aigle », tome 2 de la saga « Foi d’animal » vous emmènera au cœur d’une nouvelle épopée palpitante.
Deuxième exclusivité : le tout nouveau roman de Brigitte Guilbau « Un papillon sur la banquise » qui cette fois, traitera du harcèlement scolaire et de ses dérives.
Couverture: Laurie Pouilleau
« Frédérique part pour l’Afrique avec la dernière lettre de son fils Manuel.
Pourquoi s’envole-t-elle au pays des maisons sans adresse ?
Pour que les mots du mal qui la ronge sortent enfin.Elle a appris trop tard le harcèlement qu’il vivait dans son établissement scolaire. Elle ignorait que le cauchemar commençait pour lui dès le réveil et que l’horreur prenait l’apparence de ses copains de classe. Que faire lorsque ces lieux de savoir et de vivre ensemble que sont les écoles deviennent ceux qui nous tuent ? »
Vidéo de présentation:
Pour vous remercier de votre soutien, pour vous dire que nous pensons aussi à vous dans la mesure de nos possibilités, nous vous proposons une réduction sur vos frais de port, et ce, sur tout le catalogue, avec le code :
Le 05 mars prochain à l’occasion de la Foire du Livre de Bruxelles, trois nouveaux auteurs rejoindront l’authors’suqad de LiLys Editions.
De nouveaux auteurs ? Pas que.
Des premiers romans ? Pas que.
Des Belges ? (Presque) pas que.
Commençons par l’homme de cette sortie, oui pour changer, c’est le seul de ces nouveautés :
Olivier Henskens Crédit photo: Claudia Benedetto
Olivier Henskens est né le 11 septembre 1981 dans la région du Centre. Aujourd’hui Namurois et attaché parlementaire, cet ancien journaliste, amoureux des mots et des rencontres confie que depuis l’âge de six ans, il ne peut s’endormir sans lire au moins une page de roman.
Un mot sur « Le Roi mort » ? Si vous connaissez bien Namur, vous n’allez plus voir votre ville de la même façon…En effet, Olivier a décidé de situer son intrigue dans sa ville d’adoption et celle qui vient d’atteindre le 7e rang dans les villes plébiscitées par les touristes pourrait bien revêtir un halo sombre autour de toute cette effervescence…
« Le Roi Mort » ( Thriller, disponible le 05 mars sur notre boutique en ligne)
Je le vois… la curiosité vous pique ! Le synopsis ?
« Il n’a jamais compris pourquoi il est en vie. Il a grandi dans un foyer qui n’est jamais devenu le sien. Une famille aisée où l’indifférence des uns ne s’arrête que pour laisser place la violence des autres. Dès sa naissance, il erre dans cet univers sans trouver sa case. Il ne peut compter que sur son ego surdimensionné pour avancer dans cette existence inutile qui prend, au détour d’espoirs déçus et de rencontres destructrices, des allures de tragédie. Sauf que, lui, il a le choix, il peut influer sur le cours de sa vie. À plusieurs reprises, il a l’occasion de tout changer, de prendre une autre voie que celle de l’ombre.
Il découvre son vrai pouvoir en faisant face à la seule certitude de la vie : la mort. Il prend alors son destin en main, persuadé d’avoir trouvé un but à ce vide qu’il habite depuis sa naissance… et, en même temps, il bascule dans l’horreur absolue… »Vous souhaitez rencontrer l’auteur ? Découvrir son tout premier roman ? Rendez-vous à la Foire du Livre de Bruxelles !
Deuxième auteur à nous rejoindre : la pétillante Dominique Delescaille !
Dominique Delescaille Crédit Photo: Eddy Sermeus
Née à Charleroi, Dominique Delescaille a été journaliste pendant près de vingt ans, d’abord en télé locale, au sein de RTL Belgium ensuite avant de rejoindre plusieurs rédactions en presse écrite. Aujourd’hui, elle se consacre à l’écriture.
Chez nous, elle retrace l’histoire de Valentine, une jeune femme qui apprendra à décoder au fur et à mesure de la lecture les hauts et les bas de sa vie. Témoignage romancé, « Seule ma mère comprenait : itinéraire d’une Haut Potentiel à travers le deuil » permet à Domnique de se livrer ici à cœur ouvert.
« Seule ma mère comprenait: itinéraire d’une Haut potentiel à travers le deuil » (Roman autobiographique disponible le 05 mars sur notre boutique en ligne )
Le synopsis :
Dominique Delescaille a aujourd’hui cinquante ans. Il y a huit ans, des mots sont enfin posés sur ses attitudes, sa façon d’être, des situations au quotidien. Quand, après une longue thérapie, la psychologue lui annonce qu’elle est Haut Potentiel, l’autrice y croit à peine, même si au fil des jours, elle revisite le passé et commence à comprendre pourquoi tout n’a pas été simple dans son rapport aux autres ou avec son entourage proche ou éloigné. Pour Dominique, seules ses relations avec sa mère comptent vraiment : elles sont plus que fusionnelles, rien ne peut les séparer. Elle ne se sent apaisée qu’en sa compagnie. À son décès, sa vie bascule et c’est au travers Valentine, l’héroïne de ce roman, que Dominique se met à nu pour parler de son deuil, un sujet rarement voire jamais abordé chez les surdoués. Et pourtant, dès que le quotidien d’un Zèbre est bousculé à ce point, c’est le monde entier qui s’écroule. Beaucoup de spécialistes se demandent où elle trouve cette force, là où les gens « normaux » auraient déjà échoué en passant plus vite à autre chose, sans réaliser qu’une minorité de la population fonctionne autrement, ressentant les émotions à une échelle bien plus importante que la majorité des humains.
Retrouvez Dominique Delescaille lors de la Foire du Livre de Bruxelles !
Troisième, mais non des moindres à rejoindre notre équipe : Noëlle Michel
Lorsque nous vous disions des Belges, mais « (presque) pas que », nous faisions allusion à notre Française gantoise d’adoption. Oui, vous avez bien lu, gantoise ! Après avoir traversé les frontières de notre pays, nous avons décidé de traverser la frontière linguistique et de, pourquoi pas, créer un pont avec nos collègues et compatriotes flamands.
Noëlle Michel
D’origine dijonnaise, Noëlle Michel est tombée sous le charme de Gand, où elle vit depuis des années. Sa passion du néerlandais et des mots l’a conduite à quitter sa profession d’ingénieure pour celle de traductrice littéraire et d’écrivaine. En questionnement incessant, elle aime explorer les thèmes qui la hantent à travers la fiction.
Ne nous cachons pas la lecture du manuscrit de Noëlle fut une véritable claque, un coup de cœur et pour cause, Viande a terminé finaliste du prix Fintro Écritures Noires en 2018. Ce thriller aborde un parallèle à une certaine situation et vous fait voir les choses sous un angle totalement différent !
Synopsis :
Dévastée par l’annonce du décès de sa meilleure amie, Lisa tente d’élucider les circonstances mystérieuses de sa disparition. Des égouts de Paris aux enclos de l’élevage intensif de Beaumont, la jeune journaliste mène l’enquête avec entêtement… avant de basculer dans l’horreur.
Poussant la logique du spécisme jusqu’à l’écœurement, Viande nous jette en pâture un monde glaçant qui ressemble au nôtre : même violence économique et industrielle, même acharnement de l’humanité à dominer la nature… mais la frontière est parfois mince entre prédateur et proie.
Retrouvez Noëlle Michel à la Foire du Livre de Bruxelles. En dédicaces et en conférence.
Vous pouvez mettre votre cœur à votre aise, ce n’est pas l’apologie de la boisson, mais la déchéance d’un présentateur vedette du 20 heures d’une grande chaîne privée.
Une descente aux enfers sur fond de meurtre(s), de cavale(s) et de complot(s).
De Paris au Vénézuéla, l’auteur nous embarque au cœur de la politique internationale et de ses dangers, le tout au rythme des paroles du mythique Ernest Hemingway.
Nous comptons sur vous pour lui faire un accueil chaleureux et surtout nous attendons vos avis !
Vous voulez le synopsis ?
Allez on vous le donne :
« Jules Danver est depuis dix ans présentateur vedette du JournalTélévisé. Au sommet de sa popularité, compromis par le versement financier d’un parti africain, il est retiré de l’antenne et contraint de se cacher des médias.
Sa vie bascule et surtout ses relations avec sa fille adorée, Judith. Lâché par tous, il doit fuir son pays et se réfugie à Cuba où il y fera d’étranges rencontres : Fidel Castro, Che Guevara et Ernest Hemingway. Puis ce sera le Venezuela exsangue et l’enfer de l’Amazonie. Mais Hemingway veille sur lui : il faut écrire pour survivre. »
Le 7 septembre prochain, nous aurons le plaisir de vous présenter nos deux romans policiers : « L’affaire Boris » de Frédéric Beth et « Le Chant du Cygne » de Catherine Schul.
Un mot sur nos nouvelles recrues ?
Catherine Schul:
Copyright photo auteur: Valentine Flas
Le Chant du Cygne
Copyright couverture: Laurie Puilleau
Au retour d’un voyage en amoureux au Tyrol et en Bavière, dans la région des châteaux féeriques du roi Louis II, Hermine disparaît sans laisser de traces.
Où est-elle passée ?
Notre œil voit-il les bonnes choses ?« Le chant du Cygne » nous emmène dans des jolies régions d’Allemagne, d’Autriche, de Belgique et de France.
Frédéric Beth:
L’Affaire Boris ( Basé sur des faits réels)
Copyright photo de couverture: Frédéric Beth
Je marche, je marche, un pied devant l’autre. J’ai mal aux yeux, l’air froid me fait mal. Je marche plus vite. Le sol est mouillé… J’ai mal aux mains aussi. Je marche. Je ne reconnais pas le quartier dans la nuit. Une rue ? Deux rues ? Où habite le Docteur Fraimont encore ? Elle doit dormir mais si je sonne,
elle ouvrira parce que c’est moi. Elle sait. J’ai mal, je boîte, je traîne un pied.
Un bruit de pas ? Non, c’est mon cœur que j’entends dans mes tempes. Je marche encore un peu, je reconnais le café qui est fermé, le docteur habite au bout de la rue. J’y suis bientôt, elle ouvrira et tout sera fini, enfin. Je…
Des phares ? Une voiture… Le moteur, je reconnais le moteur. Ce petit claquement. Ne pas me retourner, il ne va pas me reconnaître. J’ai du sang sur moi, il ralentit…
C’est lui.
Retrouvez-les le 07 septembre prochain!
Pour en savoir plus, venez nous rejoindre le 07 septembre à la réserve du Palais de Beaux-Arts de Charleroi à partir de 19 h pour la rentrée littéraire organisée par les éditions du Basson.
Le 14 septembre retrouvez Catherine Schul au Salon du Livre d’Ouffet
Le 21 Septembre Frédéric Beth vous proposera une rencontre intimiste au Livre ou verre, Passage de la Bourse, à Charleroi.
L’été approche à grands pas (même si le temps ces derniers jours tente de nous en dissuader) et l’éternelle question : mais que vais-je lire pendant mes vacances commence à vous tarauder ! Ne mentons pas, vous avez déjà un choix important sur notre boutique en ligne : www.lilyseditions.shop, MAIS nous avons pensés aux plus fidèles de nos lecteurs et aux plus difficiles en vous proposant deux nouveautés en cette fin de mai :
« Un Croisé en Syrie » de Jean Jossart
Illustration Laurie Pouilleau
Geoffroy retrouve, à la mort de son père, des lettres de son aïeul, archéologue, révélant l’existence d’un mystérieux objet découvert en Syrie lors de ses dernières fouilles.
Intrigué et désireux d’en savoir davantage à ce sujet, il se trouvera entraîné dans une aventure à l’issue de laquelle il mettra au jour des informations surprenantes et particulièrement sensibles, ignorées ou volontairement occultées jusqu’alors par… l’humanité tout entière !Et si la vérité n’était pas celle que l’on vous a enseignée ?
« Foi d’animal : sous le signe du Lion »d’Eric Duchêne
Illustration Astrid Matecki
Diego Ballestra était le plus âgé du groupe de cinq personnes, provenant d’univers diamétralement opposés, qui squattait le bâtiment désaffecté situé à une bonne centaine de mètres de la gare de Drancy. Une gare, jadis, célèbre pour son rôle dans l’horrible transhumance vers les camps de la mort. À croire que le destin de cet endroit se résumait à voir passer les victimes des divers fléaux agrémentant l’histoire de France.
Ensemble, au bout de quelques mois de cohabitation, ils avaient formé une confrérie du sordide et de l’inavouable jusqu’au jour où tout bascula, et ce au grand dam de certains citoyens se croyant au-dessus des gens et des lois.« Foi d’animal » est un roman noir dépeignant telle une caricature, une société malade bien de notre temps.
Mais qui est donc Eric Duchêne ?
Un carolo d’adoption, conquis par l’Alsace !
Eric Duchêne est un personnage atypique et difficilement classable. Pour l’état civil, il est Belge (Lembeek-Halle 1949) mais il se considère comme un citoyen aux frontières mouvantes. Il se caractérise par un anticonformisme viscéral et un espritcritique toujours à l’affût d’une injustice inacceptable à ses yeux. Sa carrière dans le monde financier ne laissait en rien présager d’un passage à l’écriture.
On l’avait baigné dans les théories de Taylor, Keynes, Malthus et autres génies de l’économie alors qu’ilnourrissait sa pensée dans les œuvres de Hugo, Camus, Hemingway, Steinbeck, etc.À vous de deviner la part de chacun d’eux dans l’aventure surréaliste qu’il vous propose. « Foi d’animal »est le huitième roman d’Eric Duchêne.