Lorenzo Cecchi est né à Charleroi en 1952. Agrégé en sociologie, il a été animateur de maison de jeunes, promoteur des spectacles au National, administrateur de sociétés, ou encore commissaire d’exposition avant de terminer sa carrière en tant que commercial dans une société de protection incendie. Pendant dix ans, il a également enseigné la philosophie de l’art à l’académie des Beaux-arts de Mons.
Son premier roman, « Nature morte aux papillons » au Castor Astral (2012) a été sélectionné pour le Prix Première de la RTBF, le prix Alain-Fournier, ainsi que les prix Saga Café et des lecteurs du magazine « Notre Temps ». Il a publié chez ONLIT éditions « Faux Témoignages » et « Petite fleur de Java », respectivement en 2014 et 2015. En 2016 sont parus « Un verger sous les étoiles » aux éditions du CEP et Contes espagnols, un recueil de nouvelles illustrées par le peintre Jean-Marie Molle, au Cactus Inébranlable Editions. Sans oublier le recueil de nouvelles « Le Blues social Club », également au Cactus Inébranlable Editions.
Ce 23 septembre 2018, il présentera son nouveau roman « Paul, je m’appelle Paul » lors de l’Art de Livre d’Aywaille.
« Je m’appelle Paul », ce sont les seuls mots que prononce l’enfant rescapé d’une tragédie dans laquelle ses parents et ses sœurs ont péri. Le monoxyde de carbone a tué.
Adopté aussitôt par «tante Armelle», sœur de sa mère, qu’il ne connaissait pas. Il sera élevé, rue Varin, près de la gare des Guillemins à Liège, une rue éclairée aux néons de la prostitution. Ensuite viendra l’apprentissage à la boucherie où Léa, sa patronne, nouera avec lui une relation sentimentale qui durera toute sa vie.
Oui, ce Paul est inspiré d’un homme politique qui a réellement existé dans la Belgique des années 60-70.
Si la ressemblance est grande, elle n’est que prétexte à écrire une biographie complètement fantasmée du personnage, sans grand rapport avec l’original.
Vous pouvez d’ores et déjà retrouver Paul en exclusivité chez POP&C, rue de Marcinelle à Charleroi!