Comme vous l’avez remarqué, nous avions un peu de retard avec la production de nos titres numériques. Les raisons étaient multiples, mais cette fois c’est la bonne, nous avons résorbé le trou noir de la numérisation jusque 2020.
Vous pourrez donc retrouver tous nos titres sur LIBREL et AMAZON ainsi que toutes les plateformes légales de téléchargement à un prix n’excédant jamais 10,00 euros TTC. A vos liseuses ! A vos tablettes !
Très très bien, nous direz-vous, mais qui en sont les auteurs ? De quoi parle-t-il ?
Est-ce que les auteurs en sont à leur premier coup d’essai ?
Nous allons tâcher d’y répondre et surtout croiser les doigts de ces deux derniers nouveau-nés ne subissent pas le même sort que les premiers bébés de l’année.
Vous avez des doutes ? Nous aussi, mais c’est pour ça que nous vous avons trouvé une solution pour que vous n’ayez aucune excuse de ne pas les découvrir. Non, aucune.
Partons direction la Bretagne et Douarnenez avec Christophe Renault qui nous avait jusqu’à présent habitués au roman Young Adult.
Il passe la frontière du Policier avec « Le Cactus épilé », roman breton, écrit par un Normand de Rouen, qui a la moitié de son cœur, voire, l’entièreté (mais nous ne parierions pas un verre de Chouchen là-dessus), dans la région du Finistère.
Vous voulez le synopsis ? Le voici !
En prime, un petit message de l’auteur vous le racontant succinctement.
« RENDEZ – VOUS EN BRETAGNE POUR UN POLAR À COUPER LE SOUFFLE !
Gaspard Gonidec. Vingt-huit ans. Beau gosse. Un Master en droit de l’urbanisme en poche. Cœur errant et sans-emploi. Cerise sur le gâchis : il vit à Douarnenez, riante bourgade du Finistère Sud qui se meurt sous la bruine. Alors il traîne sa dépouille, rêveur, au gré des marées toujours plus basses, en attendant la vague qui pourrait l’arracher au calme plat. Elle arrive après seize années d’incarcération. Elle revient au pays et déchaîne les passions. C’est Léna, la fille Le Goff, la “putain des quais bas” qui a déshonoré sa ville. Jusqu’aux fantômes qui en sont dérangés. Avis de
tempête ! Le vent des rancœurs va gronder… »
La vidéo :
Retournons en baie de Somme, avec « Isobel_2172 » de Frédéric Beth, qui nous avait déjà surpris avec son écriture acérée pour « L’Affaire Boris ». Autre roman, autre répertoire, mais vous retrouverez le sentiment de réalité avec le style peaufiné de l’auteur.
Envie d’un roman qui vous serrera les tripes ?
« Simon vit avec son temps, employé dans un magasin de multimédia, sa vie est plutôt monotone et il passe la plupart de ses soirées avec son ami et collègue Phong.
Ce dernier lui donnera accès à un site de webcam pour adultes où Simon jettera son dévolu sur Isobel_2172. Blonde, captivante, addictive. Il la voit partout, ne pense qu’à elle et à la façon dont elle sourit et replace délicatement sa mèche blonde.
De séances vidéo en discussions, de numéros échangés en conversations, Simon la rejoindra en baie de Somme, mais ce qui l’attend est loin de ce qu’il pouvait s’imaginer : l’homme a encore frappé.
Dans cet opus, Frédéric Beth se prête à la revisite des méandres ténébreux de la psyché humaine. »
La vidéo :
Au vu du contexte actuel, nous avons décidé de réduire les frais de port sur notre boutique en ligne pour vous permettre de vous les procurer facilement et leur éviter un confinement total.
Les livres seront envoyés une fois par semaine pour limiter les mouvements et nous serons à votre disposition pour toute question.
Tu te souviens, en 2018, nous avions publié « Electropismes » : les aventures de Melvil, un DJ, un peu, borderline, qui s’était malgré lui embarqué dans une histoire plutôt louche avec un titre fourni à des producteurs de films.
Cette fois, c’est (un autre) Melvil, qui viendra te faire plonger dans le milieu du rap. Au programme de « Mille neuf cent soixante-quatre et demi » ? Un roadtrip personnel et émotionnel dans ce monde un peu fêlé qui est le nôtre, le tout teinté de punchlines et de choix décisifs pour l’avenir du héros.
Copyright illustration de couverture: Astrid Matecki
L’auteur ? L’inimitable Samuel Bury, qui continue notre immersion musicale avec brio.Journaliste et enseignant de formation (Université Libre de Bruxelles), Samuel Bury a surtout exercé et exerce encore différents métiers de la communication. Comme auteur, il a produit un roman, quelques nouvelles, des paroles de chanson et publié de nombreuses chroniques et critiques notamment théâtrales. Ce qu’il aime offrir aux lecteurs, c’est une description stylisée de son époque et des gens qui l’habitent avec un regard lucide et la part de fiction nécessaire. Pour le reste, c’est un homme très curieux qui croit que l’humanité n’est pas perdue mais qu’il est grand temps qu’elle se réveille…Son premier roman, Electropismes (paru chez LiLys Editions en avril 2018) aborde le monde de l’electro sous le regard de Melvil, DJ et producteur.
Copyright photo de l’auteur: Samuel Bury
Vous voulez en savoir plus ?
Voici le synopsis !«Melvil the devil». Melvil tout court. Le rap game, il en fait partie. C’est son job, sa vie. Sa vie c’est aussi forcer le hasard. Il retrouve ainsi son père. A dater de cet instant, le game va prendre une toute autre dimension. Celle du luxe, de la gloire mais aussi celle de la politique la plus machiavélique.
Vous en voulez encore ? Voici la vidéo de présentation !
Retrouvez en dédicaces:
Village du Livre de Beaumont (Centre Culturel, rue de la déportation 24) le 03 octobre de 14 à 17 heures et 04 octobre de 14 à 19 heures.
L’empreinte Belge (Rue des carme à Namur) le 17 octobre de 14 à 18 heures
Après presque trois mois à nous concentrer sur nos lecteurs belges pour les raisons que l’on connaît : nous revoici à l’international !
Nous vous avons donc préparé deux préventes des sorties libraires de septembre et une petite surprise en fin d’annonce.Première des deux exclusivités ? Le deuxième tome de la série « Foi d’animal » et nous espérons sincèrement que « L’envol de l’aigle » vous plaira autant que le tome 1: «Sous le signe du Lion ».
Couverture: Astrid Matecki
« Constantin Gonfalon avait l’intime conviction de les avoir bel et bien semés. Cela lui procurait une sensation de supériorité.
Les autoroutes et leurs péages truffés de caméras étant des nasses dans lesquelles le gros poisson qu’il était risquait de se faire prendre, il avait fait le choix du réseau secondaire.
Gonfalon vivait cette fuite comme un thriller dont il aurait été l’invincible héros. Chaque fois qu’il mettait une ville derrière lui, il se voyait dans la peau de Cary Grant esquivant les dangers que ses poursuivants avaient placés sur son chemin dans « La mort aux trousses ». Après un premier tome intense, mêlant La Fontaine et Orwell, « L’envol de l’aigle », tome 2 de la saga « Foi d’animal » vous emmènera au cœur d’une nouvelle épopée palpitante.
Deuxième exclusivité : le tout nouveau roman de Brigitte Guilbau « Un papillon sur la banquise » qui cette fois, traitera du harcèlement scolaire et de ses dérives.
Couverture: Laurie Pouilleau
« Frédérique part pour l’Afrique avec la dernière lettre de son fils Manuel.
Pourquoi s’envole-t-elle au pays des maisons sans adresse ?
Pour que les mots du mal qui la ronge sortent enfin.Elle a appris trop tard le harcèlement qu’il vivait dans son établissement scolaire. Elle ignorait que le cauchemar commençait pour lui dès le réveil et que l’horreur prenait l’apparence de ses copains de classe. Que faire lorsque ces lieux de savoir et de vivre ensemble que sont les écoles deviennent ceux qui nous tuent ? »
Vidéo de présentation:
Pour vous remercier de votre soutien, pour vous dire que nous pensons aussi à vous dans la mesure de nos possibilités, nous vous proposons une réduction sur vos frais de port, et ce, sur tout le catalogue, avec le code :
Comme vous le savez, nous avons instauré un code promo « LOCKDOWN20 » jusqu’à la fin hypothétique du confinement.
Notre but n’est pas de profiter de la situation pour vendre plus, non, le but est que VOUS RESTIEZ CHEZ VOUS.
C’est une option d’achat. Et que vous l’utilisiez ou pas reste votre choix. Nous ne vous pourchasserons pas. Nous ne ferons pas de pub pour ce code.
Depuis le début de la mise en place, nous avons dû faire face à plusieurs changements de conditions dont celle de limiter l’offre de la Boutique en ligne à la Belgique. Cela nous chagrine, mais entre les fake news propagées aussi par la télévision et les mesures différentes dans les pays d’Europe (entre autres l’arrêt de MONDIAL RELAY en France uniquement le temps du confinement), nous avons décidé de ne pas prendre de risque de perte de colis. Et les colis commandés de France avant mercredi 18 mars 2020 et qui n’ont pas pu être expédiés le seront sans frais après le rétablissement à la normale.
Donc pour la Belgique, vous pouvez toujours commander sur la boutique en choisissant l’une des deux options MONDIAL RELAY, votre colis vous sera livré par Bpost, donc n’ayez aucune crainte. Tant que le service fonctionnera, nous préparerons votre commande.
Par contre, pour respecter au mieux les mesures de déplacements limités, l’expédition pourra prendre plus de temps. Nous ferons un seul et unique déplacement à la poste par semaine.
Si vous avez des questions, nous travaillons à bureau fermé, ce qui signifie que vous pouvez nous joindre par mail à l’adresse suivante : contact@LiLysEditions.com.
Restez chez vous ! Prenez soin de vous ! Pensez aux autres !