Le Cri du Yéti

N’avez-vous jamais eu cette sensation de vous perdre dans une relation, un travail, une vie qui ne vous ressemble pas ?

C’est ce que Clémence a ressenti lorsqu’elle comprit que Laurent se souciait peu de ses sentiments.

Elle décide alors de retrouver et partir à la rencontre de celle qu’elle a perdu depuis des années : Elle.

A ce moment précis, Clémence ne peut encore imaginer que  pour la liberté d’une jeune femme, elle sera prête à déplacer des montagnes.

Le cri du yéti est un concentré d’émotions et de prise de conscience en nos propres capacités.

Il nous pousse à nous dépasser et à ouvrir les yeux sur ce qui nous entoure.

Auteur: Brigitte Guilbau

ISBN : 978-2-9601524-4-9

La version numérique est disponible sur toutes les plateformes de téléchargements légales

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2 réponses à “Le Cri du Yéti”

  1. Ce livre est sublime… Un concentré d’émotions, des mots qui vous vrillent le coeur.
    L’histoire se lit facilement, parsemée d’humour, de remarques pertinentes sur la vie de couple et la vie, en général. Et on plonge soudain…
    « Il faut se poser les bonnes questions ». Dans cette vie où, justement, trop souvent on avance sans même se poser de questions. Clémence, un jour comme un autre, décide de quitter cette vie qui ne lui ressemble pas. Elle se cherche, ose regarder sa solitude, la vivre et mettre à l’épreuve cette nouvelle liberté. Elle rencontrera d’autres solitudes, celles que l’on vit à deux, les plus terribles peut être. Elle repart pour un autre ailleurs, là où brille le soleil, là où l’on se doit de s’amuser et de faire au moins semblant d’être heureux.
    La deuxième partie de ce livre m’a fait sombrer dans un tourbillon de sentiments forts, profonds, une envie d’en finir vite, de ne pas laisser les personnages souffrir plus longtemps. Envie aussi de croire à la réussite de leur plan.
    Une histoire très forte, mêlant amour, don de soi, courage et ténacité…Tout cela sera nécessaire pour réussir un pari impossible et gagner face à une réalité sordide.
    Je n’ai pas de suite saisi le sens du titre choisi. Ce cri du yéti…Pourtant, tout est dit, en raccourci, dans ce titre. De tous les maux, seule la mort est définitive. Espérer et faire encore un pas en avant pour prouver qu’on est encore vivant…Ce pas qui permettra à cette mère de sauver un bien, plus précieux que sa propre vie.
    Il s’agit d’un roman et on aimerait tant qu’il ne s’agisse que de cela : un roman. Mais Brigitte nous parle là d’un sujet grave et bien réel. Un sujet dont on parle peu. La faim dans le monde, ça oui, on peut en parler, car, après tout, nous ne sommes pas responsables des caprices de la météo ou des injustices géographiques de certaines parties du monde. On peut faire preuve de bonté en donnant, un peu…Mais parler de la traite des êtres humains, de l’esclavage, du tourisme sexuel, là, on n’est plus dans le même créneau. Cela existe et perdure car il y a des êtres humains qui sont à l’autre bout de la chaîne pour « profiter »…
    Je terminerais par la dédicace de Brigitte :« N’oublions jamais que même au creux de la nuit la plus noire, la lutte est encore un espoir. »

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